Chansons pour ados




A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z

A

B
Bamba Li Bamba

C
Céline Change le monde
Cumula

D

E

F

G

H

I

J
J'écout'Joé Jolie bouteille

K

L
La ballade des gens heureux La colombe
La mecanica La mouette
La petite mandarine La serpette
L'eau vive Le bagne
Le bar-tabac d’en-bas Le voisin
Le fleuve argent

M
Mama ya kandé Marche, marcheur, marcher

N
Niech Voda

O

P

Q

R
Rames, rameurs, ramez

S
San Francisco Santiano

T
Tant de forêts

U
Un p'tyrien de rose

V
Vive la montagne

W

X

Y

Z


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Le bagne

Ecouter l'air

Dans une colonie
Au large de la Bretagne
On m’a emprisonné
On me fait vivre le bagne (x3)

Je ne suis qu’un enfant
Je n’ai pas connu ma mère
Ma dette envers les grands
On me la fait payer cher (x3)

Dans une colonie
Au large de l’Angleterre
On me fait travailler
Mais moi, je veux voir la mer (x3)

On veut me corriger
On me fait danser le bal
Mon cœur a bien du mal
Une pierre va le remplacer (x3)

Je n’ai plus rien à perdre
Alors j’vais pas m’laisser faire
On me dit que les enfants
Ne vont jamais en enfer (x3).


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Rames, rameurs, ramez

Ecouter l'air

Rames, rames, rameurs, ramez
On avance à rien dans c’canoë
Là-haut, on t’mène en bateau
Tu pourras jamais tout quitter
T’en aller, tais-toi et …





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La serpette

Ecouter l'air

Buvons un coup ma serpette est perdue
Mais le manche, mais le manche
Buvons un coup ma serpette est perdue
Mais le manche est revenu

Avec des "U", ça fait :
Buvus u cu mu surputt' u purdu
Mu lu muchu, mu lu muchu
Buvus u cu mu surputt' u purdu
Mu lu muchu u ruvunu


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La petite mandarine

Ecouter un extrait

Connaissez vous l'histoire
Chou bidou bidou wa
De la p'tite mandarine
Chou bidou bidou wa
Qui s'en allait un soir
Chou bidou bidou wa
Au bal de sa copine
Chou bidou bidou wa

En chemin elle rencontre
Chou bidou bidou wa
Un jeune garçon citron
Chou bidou bidou wa
Qui lui dit viens j't'emmène
Chou bidou bidou wa
On va danser le rock'nd roll
Chou bidou bidou wa

Et pendant qu'ils dansaient
Chou bidou bidou wa
Pendant qu'ils s'embrassaient
Chou bidou bidou wa
Le jeune garçon citron
Chou bidou bidou wa
Eut un zeste déplacé
Chou bidou bidou wa

Et quelques mois plus tard
Chou bidou bidou wa
La petite mandarine
Chou bidou bidou wa
Accoucha d'un petit mousse
Chou bidou bidou wa
Qu'on appela le pamplemousse
Chou bidou bidou wa


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Jolie bouteille

Ecouter l'air

Jolie bouteille, sacrée bouteille
Veux-tu me laisser tranquille ?
Je veux te quitter, je veux m'en aller
Je veux recommencer ma vie

J'ai traîné
Dans tous les cafés
J'ai fait la manche bien des soirs
Les temps sont durs
Et j'suis même pas sûr
De me payer un coup à boire

Jolie bouteille, sacrée bouteille
Veux-tu me laisser tranquille ?
Je veux te quitter, je veux m'en aller
Je veux recommencer ma vie

J'ai mal à la tête
Et les punaises me guettent
Mais que faire dans un cas pareil
Je demande souvent
Aux passants
De me payer une bouteille

Jolie bouteille, sacrée bouteille
Veux-tu me laisser tranquille ?
Je veux te quitter, je veux m'en aller
Je veux recommencer ma vie

Dans la nuit
J'écoute la pluie
Un journal autour des oreilles
Mon vieux complet
Est tout mouillé
Mais j'ai toujours ma bouteille

Jolie bouteille, sacrée bouteille
Veux-tu me laisser tranquille ?
Je veux te quitter, je veux m'en aller
Je veux recommencer ma vie

Chacun fait
Ce qui lui plaît
Tout l'monde veut sa place au soleil
Mais moi j'm'en fous
J'n'ai rien du tout
Rien qu'une jolie bouteille

Jolie bouteille, sacrée bouteille
Veux-tu me laisser tranquille ?
Je veux te quitter, je veux m'en aller
Je veux recommencer ma vie



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San Francisco

Ecouter l'air

C'est une maison bleue
Adossée à la colline
On y vient à pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent là, ont jeté la clé
On se retrouve ensemble
Après des années de route
Et l'on vient s'asseoir autour du repas
Tout le monde est là, à cinq heures du soir

San Francisco s'embrume
San Francisco s'allume
San Francisco, où êtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi

Nageant dans le brouillard
Enlacés, roulant dans l'herbe
On écoutera Tom à la guitare
Phil à la kena, jusqu'à la nuit noire
Un autre arrivera
Pour nous dire des nouvelles
D'un qui reviendra dans un an ou deux
Puisqu'il est heureux, on s'endormira

San Francisco se lève
San Francisco se lève
San Francisco ! où êtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi

C'est une maison bleue
Accrochée à ma mémoire
On y vient à pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent là, ont jeté la clef
Peuplée de cheveux longs
De grands lits et de musique
Peuplée de lumière, et peuplée de fous
Elle sera dernière à rester debout

Si San Francisco s'effondre
Si San Francisco s'effondre
San Francisco ! Où êtes vous
Liza et Luc, Sylvia, attendez-moi

Maxime Le Forestier


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La ballade des gens heureux

Ecouter l'air

Notre vieille Terre est une étoile
Où toi aussi et tu brilles un peu
Je viens te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Je viens te chanter la ballade
La ballade des gens heureux

Tu n'a pas de titre ni de grade
Mais tu dis "tu" quand tu parles à dieu
Je viens te chanter le ballade
La ballade des gens heureux
Je viens te chanter la ballade
La ballade des gens heureux

Journaliste pour ta première page
Tu peux écrire tout ce que tu veux
Je t'offre un titre formidable
La ballade des gens heureux
Je t'offre un titre formidable
La ballade des gens heureux

Toi qui a planté un arbre
Dans ton petit jardin de banlieue
Je viens te chanter le ballade
La ballade des gens heureux
Je viens te chanter la ballade
La ballade des gens heureux

Il s'endort et tu le regardes
C'est ton enfant il te ressemble un peu
On vient lui chanter la ballade
La ballade des gens heureux
On vient lui chanter la ballade
La ballade des gens heureux

Toi la star du haut de ta vague
Descends vers nous, tu verras mieux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux

Roi de la drague et de la rigolade
Rouleur flambeur ou gentil petit vieux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux
On vient te chanter la ballade
La ballade des gens heureux

Comme un chœur dans une cathédrale
Comme un oiseau qui fait ce qu'il peut
Tu viens de chanter la ballade
La ballade des gens heureux
Tu viens de chanter la ballade
La ballade des gens heureux

Gérard Lenorman


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Santiano

Ecouter l'air

C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
Hisse et ho, Santiano !
Dix huit nœuds, quatre cent tonneaux :
Je suis fier d'y être matelot.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano !
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.

Je pars pour de longs mois en laissant Margot.
Hisse et ho, Santiano !
D'y penser j'avais le cœur gros
En doublant les feux de Saint-Malo.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano !
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco

On prétend que là-bas l'argent coule à flots.
Hisse et ho, Santiano !
On trouve l'or au fond des ruisseaux.
J'en ramènerai plusieurs lingots.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano !
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco

Un jour, je reviendrai chargé de cadeaux.
Hisse et ho, Santiano !
Au pays, j'irai voir Margot.
A son doigt, je passerai l'anneau.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
{Tiens bon le cap tiens bon le flot.}
Hisse et ho, Santiano !v Sur la mer qui fait le gros dos,
Nous irons jusqu'à San Francisco.

Hugues Aufray


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L'eau vive

Ecouter l'air

Ma petite est comme l'eau, elle est comme l'eau vive
Elle court comme un ruisseau, que les enfants poursuivent
Courez, courez vite si vous le pouvez
Jamais, jamais vous ne la rattraperez

Lorsque chantent les pipeaux, lorsque danse l'eau vive
Elle mène les troupeaux, au pays des olives
Venez, venez, mes chevreaux, mes agnelets
Dans le laurier, le thym et le serpolet

Un jour que, sous les roseaux, sommeillait mon eau vive
Vinrent les gars du hameau pour l'emmener captive
Fermez, fermez votre cage à double clé
Entrez vos doigts, l'eau vive s'envolera

Comme les petits bateaux, emportes par l'eau vive
Dans ses yeux les jouvenceaux voguent à la derive
Voguez, voguez demain vous accosterez
L'eau vive n'est pas encore à marier

Pourtant un matin nouveau à l'aube, mon eau vive
Viendra battre son trousseau, aux cailloux de la rive
Pleurez, pleurez, si je demeure esseulé
Le ruisselet, au large, s'en est allé.


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Change le monde

Ecouter un extrait

Parlé :
Nous les enfants d'aujourd'hui
Nous sommes les hommes de demain
Pour nous, tous les rêves sont permis
Tous les espoirs aussi
Vous nous avez donné la vie
Vous nous devez un peu d'amour
On ne demande pourtant pas grand chose
Un peu moins de promesses
Un peu plus de bonheur
Un monde un peu moins fou
Un monde un peu meilleur

Chanté :
Toi qui tiens dans tes mains
Nos désirs et nos destins
Le pouvoir de changer nos lendemains
Si ton cœur s'ouvre un peu
A la pluie qui mouille nos yeux
Aux blessures de notre planète bleue
Tu sais tout peu changer
Il suffit d'un peu de volonté
Plus d'égalité, de fraternité

Change le monde
Et Dieu fasse qu'un jour
Les feux de l'amour
Nous laissent entrer dans la ronde
Autour de la planète
Formons une chaîne si serrée
Que rien ne puisse jamais la briser

Toi qui sais que les mots
Pour nous ce sont des couteaux
Dans les mains de tous les maçons d'espoir
Les promesses qu'ils nous font
Depuis des générations
Sont les ombres de nos rêves
Sur fond de brouillard
Tu sais tout peut bouger
Il suffit de partager plus d'humanité
D'amour, d'amitié

Change le monde
Et Dieu fasse qu'un jour
Les feux de l'amour
Nous laissent entrer dans la ronde
Autour de la planète
Formons une chaîne si serrée
Que rien ne puisse jamais la briser

Toi qui sert la main
De tous ceux qui sont puissants en ce monde
Toi qui sais parler et que d'autres écoutent
Par la voix des ondes
Dis-leur que la planète meure
Que tous les enfants sont en pleurs
Dis-leur à genoux
Qu'ils sont devenus fous
Dis-leur tout

Toi qui tiens dans tes mains
Nos désirs et nos destins
Le pouvoir de changer nos lendemains
Si ton cœur s'ouvre un peu
A la pluie qui mouille nos yeux
Aux blessures de notre planète bleue
Tu sais tout peu changer
Il suffit d'un peu de volonté
Plus d'égalité, de fraternité

Change le monde
Et Dieu fasse qu'un jour
Les feux de l'amour
Nous laissent entrer dans la ronde
Autour de la planète
Formons une chaîne si serrée
Que rien ne puisse jamais la briser

Change le monde
Et Dieu fasse qu'un jour
Les feux de l'amour
Nous laissent entrer dans la ronde
Autour de la planète
Formons une chaîne si serrée
Que rien ne puisse jamais la briser
Change le monde...
Jamais la briser
Jamais la briser
Jamais la briser...


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Céline

Ecouter l'air

Dis-moi Céline
Les années ont passé
Pourquoi n'as tu jamais
Pensé à te marier ?
De toutes mes soeurs qui vivaient ici
Tu es la seule sans mari.

Non, non, non,
Ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu as, tu as toujours de beaux yeux
Ne rougis pas non, ne rougis pas
Tu aurais pu rendre un homme heureux.

Dis-moi Céline
Toi qui es notre aînée
Toi qui fus notre mère
Toi qui l'as remplacé
N'as-tu vécu pour nous autrefois
Que sans jamais penser à toi.

Non, non, non,
Ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu as, tu as toujours de beaux yeux
Ne rougis pas non, ne rougis pas
Tu aurais pu rendre un homme heureux.

Dis-moi Céline
Qu'est-il donc devenu ?
Ce gentil fiancé
Qu'on n'a jamais revu
Est-ce pour ne pas nous abandonner
Que tu l'as laissé sans aller ?

Non, non, non,
Ne rougis pas, non, ne rougis pas
Tu as, tu as toujours de beaux yeux
Ne rougis pas non, ne rougis pas
Tu aurais pu rendre un homme heureux.

Mais non Céline
Ta vie n'est pas perdue
Nous sommes les enfants
Que tu n'as jamais eu
Il y a longtemps que je le savais
Et je ne l'oublierai jamais.

Ne pleures pas, ne pleures pas,
Tu as toujours les yeux d'autrefois
Ne pleures pas, ne pleures pas
Nous resterons toujours près de toi
Nous resterons toujours près de toi.

Hugues Aufray


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Un p’tyrien de rose

Ecouter la première voix
Ecouter la deuxième voix

Deuxième voix


Un p’tyrien de rose sur le bout du sein –ein
Un p’tyrien de rose sur le bout du sein –ein
Un sein quelque chose qui n’a l’air de rien
La La La
Un rien qui carmine, zinzoline, se mutine
Un rien qui car-mi-ne, zin-zo-li-ne
Dans un lit de vin
-dans un lit-de-vin

Un vert émeraude rode dans ses yeux
Un vert émeraude rode dans ses yeux
Un verre en marraude dans un bleu de Dieu
La La La
Un verre en malice qui se glisse qui s'imisce
Un verre en ma-li-ce qui se gli-sse
Jusqu'au sacre bleu
-jus-qu'au sa-cre bleu

Un rouge garence vermillonne et meurt
Un rouge garence vermillonne et meurt
La palette danse en un champs de fleurs
La La La
Rouge qui s'étire qui soupire qui chavire
Rouge qui s'é-ti-re qui sou-pi-re
En un clin de coeur
-en un clin de cœur

S'enfuir en espagne s'ennivrer de blanc
S'enfuir en espagne s'ennivrer de blanc
Jouer à qui perd gagne sans perdre de temps
La La La
Et noyer la rose bosse rose passerose
Et noyer la ro-se bo-sse ro-se
Dans un verre de blanc
-dans un verre de blanc

Et un gris de peine en ombre du lit
Et un gris de peine en ombre du lit
Et un gris de peine quand tout est fini
La La La
O terre de sienne qui fut tienne qui fut mienne
O terre de sien-ne qui fut tien-ne
Déjà c’est fini !
-dé-jà c’est fi-ni


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Cumula

Ecouter l'air

Le rythme est donné en tapant sur les cuisses et dans les mains et va en accélérant.

Cumula (écho)
Vista (écho)
Cumula cumula cumula vista (écho)
oh nononono té vista (écho)
Tessaminé salaminé oua oua (écho)
Bibiden baden bobo bodaden daden tss tss (écho)


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La mecanica

Ecouter l'air

Cochioli di fero vecchio
Della mecanica della mecanica
Cochioli di fero vecchio
Della mecanica del precision
Hai bello meci meco meca
meci meco meca
meci meco meca
Hai bello meci meco meca
meci meco meca
meci meco


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Bamba Li Bamba

Ecouter la voix moyenne
Ecouter la voix basse
Ecouter la voix haute

Voix moyenne :

Bamba li bamba
Solé bali bamba
Bamba li bamba yé (x2)

Woooo…Walasso li bayé
Woooo…Walasso li bayé
Walasso li bayé
Walasso li bayé

Voix basse :

Bamba li bamba
Bamba li bamba…

Voix haute :

Bamba li bamba
Bamba li bamba…


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Niech Voda

Ecouter l'air

Niech voda kinyabeur nekatouchka
Niech voda kinyabeur nekatoï
Niech voda kinyabeur nekatouchka
Niavorof kinyabeur nekatoï

Laï, laï, laï …..

No vos kuna-ya
No vos kuna-ya
Laï, laï, laï, laï

No vos kuna-ya
No vos kuna-ya
Laï, laï, laï, laï


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Marche, marcheur, marcher

Même air que "Rame, rameurs, ramez"

Marche, marcheurs, marcher
On avance à rien dans cette randonnée
Là-haut on t’mène au bâton
Tu pourras jamais tout quitter
T’en aller
Tais-toi et marche…



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La colombe

Ecouter l'air

Une colombe vint se poser
Sur la cime d’un peuplier
Et l’on entend
Au soir tombant
Sa complainte d’amour
Daï Daï Daï Daï
Daï Daï Daï Daï



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J écout Joé

Ecouter un extrait

Deuxième voix

J’écout’ Joé_____________parler d’son passé
La la la la la.........................La la la la la
Devant un feu___________nous sommes tous les deux
La la la la la.........................La la la la la la la

Pour trouver de l’or, j’suis parti
Avec Sammy Yeah !
Par les monts et par les plaines
Nous chevauchions sans peine
Après de nombreux jours passés
De l’or, nous avons enfin trouvé Youpi !
Nous songions au bel av’nir qui va s’ouvrir

J’écout’ Joé_____________parler d’son passé
La la la la la.........................La la la la la
Devant un feu___________nous sommes tous les deux
La la la la la.........................La la la la la la la

Pour trouver de l’or, j’suis parti
Avec Sammy Yeah !
Un gars du Texas, une crapule
Un dur sans scrupule
Je l’ai appris à mes dépens
Car à notre retour, il fichait l’camp
Emportant sans gros effort
Tout le trésor

J’écout’ Joé_____________parler d’son passé
La la la la la.........................La la la la la
Devant un feu___________nous sommes tous les deux
La la la la la.........................La la la la la la la


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Le voisin

Ecouter l'air

On a toujours un voisin, un voisin, un voisin
Qui dresse un mur dans son jardin
Ou qui vient nous tendre la main

Le voisin c’est celui qui s’enferme chez lui
Dans sa maison, dans son quartier, dans son pays
Ou bien celui qui dit bonjour tous les matins
Qui demande des nouvelles et nous donne un coup d’main
Le voisin c’est l’casse-pied qui cherche des histoires
Ou bien c’est le chic type qui vient souvent nous voir

On a toujours un voisin, un voisin, un voisin
Qui dresse un mur dans son jardin
Ou qui vient nous tendre la main

Le voisin c’est souvent celui qui nous fait peur
Il a une drôle de tête, une mine de bagarreur
Ou bien c’est l’étranger qui partage avec nous
Son pays, ses idées, ses coutumes et ses joies
On se déclare la guerre comme des ennemis
Ou on invente des trucs pour devenir amis

On a toujours un voisin, un voisin, un voisin
Qui dresse un mur dans son jardin
Ou qui vient nous tendre la main

Sur le banc de l’école, chez nous ou dans le train
Parout on est toujours le voisin de quelqu’un
Qui est lui-même le voisin d’milliers autres copains
Les voisins des copains jusqu’aux pays lointains
Et nous aussi on dresse des murs dans nos jardin
Ou bien on est celui qui vient tendre la main

On a toujours un voisin, un voisin, un voisin
Qui dresse un mur dans son jardin
Ou qui vient nous tendre la main


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Mama ya kandé

Ecouter l'air

Oh mama ya kandé
Oh mama ya kandé
Oh mama ya kandé -é
Oh mama ya kandé
Oh mama, oh mama, oh mama kandé –é
Oh mama, oh mama, oh mama kandé -é


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Tant de forêts

Ecouter l'air du refrain

Dans la forêt, il a un vieux chêne
Un bon vieillard en bois d’arbre touffu
Au cœur d’un chêne, murmure une fontaine
Une fontaine que nul n’a jamais vue

Y’a tant de forêts, y’a tant de ruisseaux
Voici mon secret m’a dit un oiseau(x2)

Au cœur du cœur de mon chêne
Au cœur du cœur de mon ami chenu
Je sais que chant’ une pure fontaine
Peut-être mêm’ un ruisselet menu

Y’a tant de forêts, y’a tant de ruisseaux
Voici mon secret m’a dit un oiseau(x2)

Un soir d’hiver lorsque dormait le chêne
Un soir d’hiver, la forêt s’était tue
Un oiselet plus petite qu’une faine
Dessous l’écorc’ est entré, je l’ai vu

Y’a tant de forêts, y’a tant de ruisseaux
Voici mon secret m’a dit un oiseau(x2)

Et dans le cœur de mon ami le chêne
Et dans son cœur que nul n’a jamais vu
Il s’est posé au bord de la fontaine
Et dans son cœur, doucement, il a bu

Y’a tant de forêts, y’a tant de ruisseaux
Voici mon secret m’a dit un oiseau(x2)


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Le fleuve argent

Ecouter l'air

En descendant(bis)
Le fleuve argent(bis)
Qui coule jusqu’au Névada
On voit dans la plaine(bis)
Qui s’étend(bis)
Les villes s’appellent La Trinidad, San Miguel
Ou San Lorenzo
Les filles s’appellent Soledad, les garçons
Gar_dent les trou_peaux_oh oh oh

C’est là que Jim(bis)
A rencontré(bis)
Sur la route un soir de pluie
Catherine la fille(bis)
Du fermier(bis)
Et ils s’aimèrent toute la nuit
Le soleil fait briller son or
Dans quelques rares flaques d’eau
Le cactus forme le décor
Le chardon cou_vre les poteaux_oh oh oh

C’est là qu’Adam(bis)
Le sénateur(bis)
Est venu finir ses vieux jours
Puis il est mort(bis)
D’un coup de coeur(bis)
On prétend qu’c’est le mal d’amour
Mais les fleurs couchées par le vent
Semblent prier pour son repas
La lune verse une larme d’argent
Sur la croix blan_che du_tombeau_oh oh oh


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Le bar-tabac d'en-bas

Ecouter l'air

Y’a un boum dans le bar-tabac d’en-bas
Y’a un boum dans le bar-tabac d’en-bas
Y’a un boum… Y’a un boum…
Y’a un boum dans le bar-tabac d’en-bas

Y’a un jazz dans le boum dans le bar-tabac d’en-bas
Y’a un jazz dans le boum dans le bar-tabac d’en-bas
Y’a un jazz… Y’a un jazz…
Y’a un jazz dans le boum dans le bar-tabac d’en-bas

Ainsi de suite avec d’autres styles de musique : blues, rap, techno…


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La mouette

Ecouter l'air

Au loin, on voit tourner la mou-e-tte
Autour d’un point noir sur du bleu
Nul ne sait qu’elle guette son amoureux

Vole, mon-on cœur vo-o-le
La mouette me-e l’a pris
Vole, mon-on cœur vo-o-le
La mouette me l’a pris

En mer qui a l’idée étran_ge
D’être amoureux d’un oiseau blanc
Si ce n’est pas un ange, c’est un enfant

Vole, mon-on cœur vo-o-le
La mouette me-e l’a prisv Vole, mon-on cœur vo-o-le
La mouette me l’a pris

Marin quand tu dormais à Sète
Au grand soleil sous tes filets
Elle a pris ta navette et a filé

Vole, mon-on cœur vo-o-le
La mouette me-e l’a pris
Vole, mon-on cœur vo-o-le
La mouette me l’a pris

Depuis, c’est bien fini la pê_che
Il y a des trous dans ton chalut
Quand la nuit se fait fraîche, tu ne dors plus

Vole, mon-on cœur vo-o-le
La mouette me-e l’a pris
Vole, mon-on cœur vo-o-le
La mouette me l’a pris


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Vive la montagne

Ecouter l'air du refrain

Quand le soleil brille là-haut
Vive la montagne, vive la campa-a-gne
Quand le soleil brille là-haut
Chantons sur la route à tout écho

L’eau claire du ruisseau, les trilles des oiseaux
Le vent dans les bouleaux, le ciel qui nous invite
L’eau claire du ruisseau, les trilles des oiseaux
Le vent dans les bouleaux, tout est si beau

Nous marcherons d’un pas léger
A travers les sentes, à travers les sen-en-tes
Nous marcherons d’un pas léger
Aux mille couleurs de la forêt

L’eau claire du ruisseau, les trilles des oiseaux
Le vent dans les bouleaux, le ciel qui nous invite
L’eau claire du ruisseau, les trilles des oiseaux
Le vent dans les bouleaux, tout est si beau

Sur les sommets près des glaciers
La vue est immense, la vue est immen-en-se
Sur les sommets près des glaciers
La terre révèle sa beauté

L’eau claire du ruisseau, les trilles des oiseaux
Le vent dans les bouleaux, le ciel qui nous invite
L’eau claire du ruisseau, les trilles des oiseaux
Le vent dans les bouleaux, tout est si beau

A la veillée au coin du feu
Entrons dans la danse, entrons dans la dan-an-se
A la veillée au coin du feu
Chantons l’amitié, les jours heureux


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